Afin de fuir les tracasseries du quotidien, je m’imagine parfois perché au sommet d’un arbre à me laisser bercer par le vent, tel un Robinson Crusoé. À défaut d’avoir un érable ou un chêne à ma disposition pour me retirer, c’est le crassula, que je croisais tous les jours devant ma fenêtre, qui m’inspira cette cabane.
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